- Dans mon marathon, c’était un joli moment de détente et de rencontre…
- L’imagination, au bruissement du feuillage printanier, m’engageait à des rêveries surréalistes. Etait-ce mon esprit rêveur qui me faisait découvrir au coin des rues et de passages bien connus des surprises incongrues, ou tout à fait extraordinaires.
- Cette coulée verte était un lieu surprenant et ma balade se présentait comme u bref passage dans une unité de temps fort court et c’est à ce moment que la rencontre se fit…
- Les pensées souvent sont tues. L’écriture est un moyen, ou non pas un moyen mais un chemin. J’empruntai ce chemin, sourire aux lèvres, pour prendre peut-être des routes inconnues même de moi-même!
Ce texte a été écrit à Colombes, dans le cadre du festival de la voix.
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