- Eh non, il n’est pas seul… que d’amis qui se pressent autour de lui…
- Et pourtant il a beaucoup hésité avant de sortir, je crois qu’il a peur dans la ville.
- La ville, pleine de ses fleurs, de ses douceurs pourra le rassurer.
- Trop de bruit, trop de monde, il cherche un petit coin de douceur.
- Un petit coin de paradis, le pavot l’a dit.
- Le pavot l’a dit, le poète aussi.
- Tous deux se sont posés. Le pavot n’est plus seul. Cornu il reste, bronzé il devient…
Ce texte a été écrit à Colombes, dans le cadre du festival de la voix.
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